Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des paysans, une féminité vivait en retrait, à l’orée des rêve. Sa famille, bâtie de pierre et de filet triste, exhalait nettement une odeur d’herbes https://kameronweijl.shotblogs.com/le-pluie-sous-la-cendre-de-voyance-47453710