Le grimoire d’ivoire reposait censées lui, silencieux et permanent, mais il n’était plus vide. Les lettres du mal qui avaient émergé à le support de la chronique portaient une lourdeur indisctinct, tels que si elles s’accrochaient à l’air autour d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est perçu. https://shanedarhv.bloginwi.com/67500881/l-empreinte-des-pages