En 2150, à Dubaï, les puteaux de verre se dressaient comme des aiguilles plantées du ciel, immobiles et froides. Parmi elles, la plus grande n’avait ni substantif ni logo. Seuls celles qui en franchissaient les portes connaissaient sa fonction : revenir le destin. Dans un univers saturé d’algorithmes prédictifs, de https://lindseyr777gvk4.kylieblog.com/34522701/les-échos-de-la-destinee-effacé