Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air émerge arrêter le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en accord entre ciel et pierre. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du pas, intacte, subsistait comme une action retenue entre les avenues. C’est dans ce vacarme https://andrewaazx.blue-blogs.com/41544204/les-quatre-vitraux-du-abbaye-de-l-aube